- Tâche 1 : Désignation de classes d’entités simples
- Tâche 2 : Organisation des classes d’entités associées en jeux de classes d’entités
- Tâche 3 : Ajout d’éléments de géodatabase pour permettre la mise à jour des données et gérer l’intégrité des données
- Tâche 4: Ajout de fonctionnalités pour les utilisations avancées de données, les modèles analytiques (par exemple, l’analyse de réseau et le géocodage) et la cartographie avancée
Voici quelques conseils de conception utiles pour la modélisation de classes d'entités de géodatabase :
Tâche 1 : Désignation de classes d’entités simples
Presque sans exception, chaque géodatabase contiendra des classes d’entités. Peut-être ne voudrez-vous qu’une conception de géodatabase simple ne contenant qu’un ensemble de classes d’entités. Toutefois, la plupart des utilisateurs éprouveront le besoin de développer un modèle de données plus complet ajoutant des éléments de géodatabase plus avancés. Vous prendrez la décision d’étendre vos conceptions de classes d’entités simples en fonction de vos besoins système et de vos objectifs ; vous étendrez votre conception pour prendre en charge les fonctionnalités et le comportement SIG essentiels. Cette section présente un grand nombre de ces fonctionnalités de classe d'entités et vous dirige vers des rubriques d'aide contenant plus d'informations sur chaque option.
Commencez par définir les propriétés communes des classes d’entités simples. Vous pourrez faire des ajouts ultérieurement selon vos besoins mais concentrez-vous d'abord sur la définition de votre conception de base.
Une classe d'entités est un ensemble d'entités géographiques avec le même type de géométrie (par exemple, point, ligne ou polygone), un ensemble commun de colonnes attributaires et le même système de coordonnées.
Exemples de classes d’entités dans ArcGIS
Classe d'entités | Représentation | Remarques |
---|---|---|
Axes médians des routes | Ligne | Segments de rue fractionnés à chaque intersection ; contiennent habituellement des plages d'adresses et des propriétés de réseau |
Puits | Point | |
Types de sol | Surface | Généralement dotés de nombreux attributs descriptifs dans des tables associées |
Parcelles* | Surface | Intégration topologique avec les coins et les limites des parcelles |
Limites de parcelles* | Ligne | Dotées de géométrie de coordonnées et d'attributs de dimension ; font partie d'une topologie avec des parcelles et des coins |
Coins de parcelles* | Point | Coins d'arpentage des parcelles ; font partie d'une topologie avec des limites et des polygones de parcelles |
Annotation de parcelle | Annotation | Fournit les étiquettes textuelles pour les dimensions du terrain, la taxation et les informations légales |
Tracé de bâtiment | Surface | Contient les contours des bâtiments et des structures |
* Le jeu de données de l'atelier parcellaire fournit le comportement des parcelles et une topologie spécialisée associée aux parcelles pour ces classes d'entités.
Une fois que vous vous décidez pour une liste proposée de classes d'entités, essayez de définir les éléments suivants pour chacune d'entre elles :
- Choisissez un type de géométrie (également nommé type de classe d’entités) tel qu’un point, une ligne, un polygone ou une annotation. Vous devrez utiliser un type de géométrie courant pour toutes les entités dans chaque classe d’entités. Reportez-vous à la rubrique Principes de base des classes d’entités.
- Déterminez les champs attributaires et les types de colonne. Reportez-vous à la rubrique Types de données des champs ArcGIS.
- Déterminez les propriétés des géométries. Disposerez-vous de coordonnées z ? De coordonnées m ? Quel type de résolution de coordonnée ? Quels types de segment de ligne pour les lignes et les classes d’entités surfaciques ? Le plus souvent, vous aurez simplement besoin du type par défaut, qui utilise des segments de ligne droite simples. Toutefois, vous aurez parfois besoin de segments courbes, par exemple pour représenter les culs-de-sac et les routes. Reportez-vous à la rubrique Principes de base des classes d’entités.
- Définissez le système de coordonnées pour chaque classe d’entités. Reportez-vous à la rubrique suivante : Que sont les projections cartographiques ?
- Avez-vous besoin d’utiliser ce jeu de données à plusieurs échelles ? Comment changeront les représentations à chaque échelle de carte ? Vous constaterez peut-être que vous avez besoin de représentations de classes d’entités alternatives à utiliser dans d’autres plages d’échelles. Dans ces situations, vous pouvez envisager d'utiliser des classes d'entités supplémentaires pour représenter le même thème de données pour chaque plage d'échelle.
Parfois, vous aurez besoin de données d’entités telles que dans votre SIG. Dans ce cas, vous n’aurez pas nécessairement besoin d’effectuer l’une des tâches de conception supplémentaires suivantes. Toutefois, il est important d’évaluer les avantages liés à l’ajout d’autres fonctionnalités SIG aux entités de votre géodatabase. Ces fonctionnalités supplémentaires ont le potentiel de faciliter considérablement l’utilisation et la maintenance des données à long terme. Elles vous aideront à maintenir l’intégrité de vos informations spatiales, à améliorer la convivialité de vos données et, surtout, à évaluer la fiabilité de vos données lorsqu’il s’agit de répondre à vos besoins.
Voici quelques raisons courantes d’étendre votre modèle de données d’entités simples :
- Vous devez valider un jeu de données avant de l'importer et de l'utiliser dans votre système (par exemple, pour vous assurer que le jeu de données respecte une série de règles d'intégrité spatiale)
- Vous devez mettre à jour les données et conserver leur intégrité spatiale
- Si vous voulez utiliser la classe d’entités pour les tâches SIG avancées, telles que la modélisation et l’analyse
Tâche 2 : Organisation des classes d’entités associées en jeux de classes d’entités
Utilisez des jeux de données d’entité pour organiser spatialement des classes d’entités reliées dans un jeu de données commun : Les jeux de classes d’entités sont nécessaires pour effectuer les tâches suivantes :
- Ajouter une topologie
- Ajouter un atelier parcellaire
- Ajouter un jeu de données réseau
- Ajouter un réseau géométrique
- Ajouter un jeu de données de MNT
Un jeu de classes d’entités est un ensemble de classes d’entités spatialement ou thématiquement reliées qui partagent un système de coordonnées commun. Les jeux de données d'entité permettent de stocker les classes d'entités qui font partie d'une topologie partagée, d'un jeu de données réseau, d'un réseau géométrique ou d'un MNT.
Vous souhaiterez parfois organiser un ensemble de classes d’entités pour un thème commun dans un seul jeu de classes d’entité. Par exemple, vous pourriez disposer d’un jeu de classes d’entités pour l’eau qui contient des points hydrauliques (tels que des barrages, des ponts et des prises d’eau), des lignes hydrauliques (cours d’eau, canaux et rivières) et des polygones hydrauliques (lacs, zones de desserte, bassins versants, etc.).
Dans certains cas, vous pourriez utiliser des jeux de classes d’entités en tant que dossiers pour contenir une collection de classes d’entités simples. Cette technique est essentiellement utilisée pour organiser la manière dont vous partagez les jeux de données. Cependant, il ne s'agit pas d'une structure de données utile pour la mise à jour.
Vous devez effectuer les tâches 3 et 4 pour choisir une conception finale quant aux classes d'entités devant être organisées dans chaque jeu de données d'entité.
Les jeux de classes d’entités jouent un rôle clé dans l’établissement d’autorisations pour la mise à jour des données. Toutes les classes d’entités dans un jeu de classes d’entités disposeront des mêmes permissions. Cela signifie que vous pouvez définir des permissions au niveau des jeux de classes d’entités pour identifier l’organisation ou le groupe qui maintiendra son contenu. Si différentes permissions doivent être définies sur chaque classe d’entités, les classes d’entités doivent être organisées en jeux de classes d’entités (ou classes d’entités) distincts. Dans ces cas, des procédures ETL (extraction, transformation et chargement) ou d'importation/exportation peuvent être utilisées pour transférer des mises à jour de données entre les différents jeux de données.
Quand utiliser des jeux de classes d’entités
Utilisez des jeux de classes d’entités pour intégrer spatialement ou thématiquement des classes d’entités reliées. Leur finalité principale réside dans l’utilisation de certains jeux de données de géodatabase avancés.
Vous devez utiliser des jeux de données d'entité pour stocker l'ensemble des classes d'entités qui participent à chacune des fonctionnalités de géodatabase suivantes :
- Topologie
- Jeu de données réseau
- MNT
- Réseau géométrique
- Atelier parcellaire
Tâche 3 : Ajout d’éléments de géodatabase pour permettre la mise à jour des données et gérer l’intégrité des données
La géodatabase inclut des fonctionnalités facultatives de modélisation de données qui ajoutent des règles d’intégrité et un comportement de mise à jour à votre SIG. Ces fonctionnalités vous aident à automatiser une grande partie de vos tâches de gestion de données et de contrôle d'intégrité.
- Voulez-vous gérer l’intégrité des valeurs attributaires ? Vous pouvez utiliser des domaines, qui sont des règles permettant d’attribuer des valeurs valides dans un champ attributaire.
- Voulez-vous utiliser des sous-types pour gérer plus facilement des sous-ensembles d’entités dans une classe d’entités ? Les sous-types vous permettent de configurer des comportements spéciaux pour chaque sous-classe. Ils peuvent être utilisés afin de définir des règles par défaut pour gérer les sous-ensembles d’entités. Par exemple, vous pouvez utiliser des sous-types pour attribuer automatiquement des valeurs attributaires par défaut lorsque de nouvelles entités sont ajoutées pendant la mise à jour, définir des règles d'intégrité spatiale pour indiquer comment les nouvelles entités se connectent aux autres et ajouter d'autres comportements d'entité.
- Déterminez s’il existe des tables associées et si vous avez besoin de classes de relations. Les classes de relations vous permettent d'utiliser des entités dans une table en sélectionnant des entités dans des tables reliées, ce qui constitue une fonctionnalité de base de données relationnelles très courante.
- Déterminez s’il existe des relations spatiales entre les entités de cette classe d’entités ou avec d’autres classes d’entités ayant besoin d’être modélisées. Par exemple, avez-vous des parcelles ayant des limites en commun ? Partagent-elles une géométrie avec une classe d’entités de limites de parcelles et une autre de coins de parcelles ? Voulez-vous vous assurer que vos segments de route se connectent les uns aux autres ou que les lignes électriques se rencontrent aux jonctions et aux commutateurs ? Avez-vous des limites de comtés qui s’imbriquent dans les États et ne se chevauchent pas ? Avez-vous des classes de végétation qui partagent des limites avec d’autres couches environnementales telles que des polygones de type sol, aspect et pente ? Dans ce genre de cas, une topologie est très utile ; elle est même essentielle.
Les classes d’entités qui participent à une topologie doivent être organisées dans le même jeu de classes d’entités. Reportez-vous à la rubrique Vue d’ensemble de la topologie dans ArcGIS pour en savoir plus sur les utilisations possibles des topologies dans les jeux de classes d’entités dans le but d’organiser et de gérer l’intégrité des relations topologiques pendant les opérations de modification et de mise à jour.
Tâche 4: Ajout de fonctionnalités pour les utilisations avancées de données, les modèles analytiques (par exemple, l’analyse de réseau et le géocodage) et la cartographie avancée
Pour chaque jeu de données, vous voudrez peut-être considérer l’ajout de fonctionnalités supplémentaires de géodatabase vous aidant à exploiter davantage chaque jeu de données. Plusieurs solutions sont disponibles et vous pouvez appliquer chacune de ces solutions pour ajouter des fonctionnalités à votre géodatabase.
- Voulez-vous modéliser et utiliser les relations topologiques pour naviguer à travers les nœuds, les tronçons et les faces d’une topologie ? La géométrie des entités partagées vous aidera-t-elle à modéliser vos entités de manière plus réaliste ? Par exemple, les limites de polygone et de ligne de nombreuses couches de données de NMT (par exemple, les classes d’entités pour la végétation, les pentes, l’aspect, les types de sols, la géologie, les plans d’eau, les bassins versants, les zones écologiques et autres couches environnementales). Intégrer leurs limites communes à l’aide de la topologie vous permet de construire des combinaisons d’attributs beaucoup plus solides et cohérentes. Celles-ci ont un impact immense sur les modèles d’adéquation/de capacité et la capacité d’acquérir de réelles informations sur un problème. Les topologies peuvent également vous aider à intégrer les systèmes de parcelles, les unités de recensement, les limites administratives et de nombreux autres jeux d’informations. Les utilisateurs de SIG qualifient parfois cette intégration d'intégration verticale de couches de données SIG.
- Voulez-vous modéliser un réseau de transport ? La géodatabase utilise un jeu de données réseau pour modéliser ces situations. Un jeu de données réseau est un ensemble de tronçons, de tournants et de jonctions à travers lesquels vous pouvez modéliser la navigation et le flux de marchandises et de ressources. Chaque réseau possède un ensemble de propriétés de navigation. Ces propriétés incluent le "coût" du déplacement le long de chaque tronçon et du transfert sur un autre tronçon, ainsi que l'aptitude à modéliser des sens uniques, des tournants à gauche, et autres restrictions de déplacement, et les réseaux multimodaux (la combinaison de déplacements utilisant à la fois l'automobile, le bus et la marche à pied).
Un jeu de données réseau utilise des classes d’entités comme sources de données pour les tronçons, les jonctions et les tournants. Vous spécifiez le rôle que chaque classe d’entités jouera dans le réseau ainsi que ses propriétés de navigation. Les classes d'entités qui participent à un réseau doivent être organisées dans le même jeu de données d'entité.
- Voulez-vous modéliser des réseaux de distribution ? Les systèmes de distribution d’électricité et d’eau, d’eaux pluviales et d’égout sont modélisés à l’aide d’un réseau géométrique dans la géodatabase. Un réseau géométrique est un ensemble d’entités tronçons et jonctions connectées utilisé pour modéliser le flux des objets tels que l’électricité, l’eau, le gaz et l’écoulement des eaux pluviales. Chaque classe d’entités est affectée à un rôle dans le réseau géométrique en tant qu’ensemble de tronçons ou de jonctions. La connectivité du réseau est définie par les propriétés des entités et la coïncidence géométrique. Par exemple, les valves (qui sont détenues comme une classe d’entités points) sont connectées aux extrémités des segments de canalisation (stockés comme entités linéaires). Si la valve est ouverte, l'eau peut s'écouler dans la direction spécifiée.
- Voulez-vous utiliser le géocodage ? Pour le géocodage d’adresses, vous ajoutez un localisateur d’adresses à votre géodatabase. Un localisateur est une combinaison d’une ou plusieurs classes d’entités contenant des entités adressables (par exemple, des informations de plages d’adresses pour les axes médians des rues) et un ensemble de styles d’adresses et de règles d’appariement. Chaque jeu de données localisateur sert de source pour trouver une correspondance pour une adresse ou un fichier volumineux d'adresses afin de localiser les adresses.Vous pouvez créer des localisateurs et en sauvegarder des copies indépendantes de la géodatabase. Cela vous permet de partager vos localisateurs avec de nombreux types d'utilisateurs et de permettre à ces derniers de les utiliser dans leurs tâches de géocodage.
- Voulez-vous utiliser le référencement linéaire pour localiser des événements ou des ressources le long de lignes de transport ? Les sommets d'entité linéaire peuvent aussi inclure des valeurs M. Certaines applications SIG utilisent un système de mesure linéaire permettant d’interpoler les distances le long d’entités linéaires (par exemple, le long des routes, des cours d’eau et des pipelines). Vous pouvez attribuer une valeur M à chaque sommet d'une entité. Le système de mesure des bornes d’autoroute en est un exemple courant. Les services de transport les utilisent pour enregistrer l’état de la chaussée, les limites de vitesse, l’emplacement des accidents ou autres incidents sur l’autoroute. Deux unités de mesure souvent utilisées sont la distance en bornes à partir d'un emplacement défini, telle que la limite d'une région et la distance à partir d'un repère de référence.VLes sommets pour les mesures peuvent être (x,y,m) ou (x,y,z,m). La prise en charge de ces types données est souvent connue sous le nom de référencement linéaire. Le processus de géolocalisation des événements qui se produisent avec ces systèmes de mesure s’appelle la segmentation dynamique. Les coordonnées mesurées constituent les éléments fondamentaux pour ces systèmes. Dans l’implémentation du référencement linéaire dans ArcGIS, le terme itinéraire fait référence à une entité linéaire (par exemple, une rue, une autoroute, un cours d’eau ou une canalisation) possédant un identifiant unique et un système de mesure commun. Un ensemble d’itinéraires avec un système de mesure commun peut être créé à partir d’une classe d’entités linéaires comme suit :
- Voulez-vous modéliser l’altitude à l’aide de réseaux triangulés irréguliers ? Ou avez-vous besoin de gérer les collections de points lidar ou bathymétriques ? La géodatabase possède un jeu de données de MNT pour modéliser des surfaces à l’aide de réseaux triangulés et gérer de vastes ensembles multi-points tels que les données lidar et bathymétriques. Les MNT permettent de gérer des collections de points 3D très volumineuses (tels que des collections de milliards de points lidar), ainsi que d'autres entités 3D, et générer des TIN multi-résolutions à partir de ces collections.
- Voulez-vous gérer les parcelles dans une surface continue de parcelles connectées ? Un atelier parcellaire est un jeu de données de parcelles connectées. Les parcelles sont représentées par des entités linéaires de parcelle, des entités ponctuelles de parcelle et des entités surfaciques de parcelle.
- Voulez-vous inclure des représentations et des règles cartographiques dans vos classes d’entités ? Une représentation peut être ajoutée à une classe d’entités afin de contenir des règles de dessin ou une représentation graphique alternative pour l’affichage cartographique des entités. Dans les applications SIG, la plupart des utilisateurs automatisent la cartographie en définissant un ensemble de couches cartographiques. Une couche cartographique est un ensemble de règles sur la manière de symboliser et d’étiqueter les entités sur chaque carte. Il arrive que les couches ne suffisent pas à véhiculer correctement les informations. Par exemple, des axes médians de routes peuvent se connecter à des intersections. Mais si vous voulez afficher les ponts, les passages supérieurs, les tunnels, etc., vous ne pouvez pas les afficher facilement sur votre carte.
Une représentation cartographique permet aux utilisateurs d’appliquer des substitutions, des règles et des graphiques spécifiques pour s’assurer que la représentation cartographique est claire. Par exemple, sur un affichage cartographique, les symboles de route exagèrent la taille des routes et peuvent provoquer des conflits avec d’autres entités telles que les cours d’eau et les bâtiments. Avec les représentations cartographiques, vous pouvez décaler certains symboles d’entités pour éliminer les conflits, sans devoir changer l’emplacement géographique sous-jacent des entités. Vous pouvez éloigner les représentations de route des cours d'eau et décaler les bâtiments par rapport aux symboles de route.
Les représentations peuvent également être utilisées pour personnaliser l’affichage des entités individuelles dans une classe d’entités. Les personnalisations d’entités individuelles sont nommées substitutions. Par exemple, les entités linéaires peuvent être symbolisées avec une règle de représentation par traits tiretés. Ensuite, les propriétés de cette règle, telles que le poids et la couleur du tiret, peuvent être remplacées par des entités individuelles sans changer la structure de cette règle.